Pour nous parler de ces enjeux d’égalité salariale dans le sport, « les non-essentiels » libère, dans ce nouvel épisode, la parole d’Amandine Fouquet, championne de France de cyclo-cross ainsi que celle de Célia Géry, sa cadette. Sans oublier l’inénarrable Daniel Mongeas, « la voix » du Tour qui nous annonce en exclusivité qu’une autre course a décidé de se féminiser : le chrono des Herbiers.
« Merci d’être venu.e.s ! » C’est ce que disent, depuis maintenant 7 ans, des citoyen.ne.s mobilisé.e.s dans l’accueil des exilé.e.s. Un « merci » festif et solidaire. Fait d’échanges en mots, en musiques, en contes et en repas partagés.
Les enfants, à la rue ? Derrière les beaux discours, la réalité de l'exil. Arrivée en France il y a 4 ans, une famille géorgienne vient de passer 15 jours à dormir dans les rues de La Roche-sur-Yon. La faute à une administration préfectorale et une municipalité sourdes à cette situation.
Libertés chéries ? Quelle que soit la saison de l’année, la liberté ne trouvera jamais ses racines dans le confusionnisme politique ambiant. Même l’été. Parce que la liberté n’est ni une option complotiste, encore moins une solution patriotique.
Faire avec. Faire ensemble. C’est le sens de ce 11e numéro de notre podcast qui part, à l’aube de l’été, à la rencontre d’une envie faite de culture itinérante, toujours conduite par les préceptes de l’éducation populaire. De Montpellier à La Roche-sur-Yon, en passant par René, dynamique village sarthois, voici donc, ici racontées, les aventures du Rapiloteur. Un camion qui pose sa scène de 17 m2 partout où l’envie de faire avec, de faire ensemble se vit comme une nécessité.
On vous en parlait dans notre 9e épisode. Le gouvernement avait passé un sale quart d’heure, le 10 juin dernier, au Conseil d’État. Il n’aura pas fallu longtemps pour que cette haute instance désavoue publiquement Elisabeth Borne, Jean Castex et… Emmanuel Macron. Ce mardi 22 juin, jour de mobilisation nationale contre l’application de la réforme de l’assurance chômage, le Conseil d’État a annoncé officiellement la suspension du changement de calcul des allocations chômage, au 1er juillet.
3h pour mettre le gouvernement en difficulté. C’est le temps qui aura fallu, le 10 juin dernier, aux syndicats pour démontrer au Conseil d'Etat toute l’absurdité de la réforme de l’assurance chômage. Un décret « toxique », profondément injuste et inefficace dans la lutte contre la précarité dont on vous détaille les coulisses dans ce 9e épisode des « non essentiels libèrent la parole ».
Quand un jeune gars vous dit qu’il vient de la rue et qu’il a trouvé un emploi, vous ne riez plus. Vous écoutez en vous disant que, décidément, Macron n'est pas sorti de la cuisse de Jupiter mais bien d'un de ces cabinets mortifères de banquiers. Quand les AESH jouent à la marelle, vous vous approchez, intrigués, et vous comprenez, qu’en réalité, elles mettent leur vie aux enchères. Là, encore, vous ne riez plus. Vous écoutez. Vous vous mobilisez !
Pénicaux a mûrit, elle. Trouvant même qu’Elisabeth dépasse les Borne. Il faut dire qu’à ce jeu de grattage, les perdants de la réforme de l'assurance-chômage seront 1,15 million, dès le 1er juillet. Comme ces ex-smicards qui verront leur allocation passer de 985 à 667 euros par mois. Une sordide équation qui ne passe pas chez les occupantes qui ont mené, cette semaine, une action au pôle emploi de La Roche-sur-Yon et fait leur tournée de réouverture des « galères en bars ».
Odéon-CentQuatre, Roubaix, Saint-Céré, Dijon... Dans ce 6e épisode des « Non-essentiels libèrent la parole », retrouvez toutes les actus de ces lieux occupés : les convergences et les actions à venir pour obtenir l’abrogation de la réforme de l’assurance-chômage.
Occupons partout, occupons ! Et vous, c’est quoi votre 19 mai ? Pour vous, ça rouvre quoi ? Ça empêche quoi ? Ça continue de casser quoi ? Pour nous, une certitude : ce 19 mai n'épargnera en rien l'avenir bouché promis aux non-essentiels de ce pays. Ce 19 mai n'est qu'un jour de plus à lutter. Un jour de cette révolte qui vient, qui sourde, qui monte. Qui invite encore et toujours à l'occupation.
Occupation J+60. Après deux mois d’occupation, quelles conséquences de la lutte sur celles et ceux qui la mènent ? Pour quelle convergence et résultats ? Pour ce 4e numéro des « non-essentiels libèrent la parole » , retrouvez les occupant•e•s du Grand R, ce samedi 15 mai de 11h à midi, non pas en direct du parvis du Grand'R mais sur Graffiti Urban Radio.
Que valent les artistes ? Un plan de com’ pour siffler la fin de la récré. Voilà le principal objectif de la réouverture des lieux de culture, le 19 mai. Alors que, depuis 52 jours, les occupantes et les occupants du Grand R veulent juste continuer de créer, répéter, partager. En un souhait : siffler le début de la recréation !
De Chicago à aujourd'hui : histoire et perspectives de cette journée internationale de revendications des travailleuses et travailleurs de tous secteurs. Pour son 45e jour d'occupation, un second numéro des "non-essentiels libèrent la parole" au cœur de la manif et de la convergence des luttes.
Pour sa première, "Les non-essentiels libèrent la parole" ont tendu leur micro à Babeth, Euphrasie, Sophie... Ces aides à domicile et accompagnatrices d'élèves en situation de handicap, "premières de corvées" révélées par la crise sanitaire.
A écouter dès maintenant et à partager sans modération !
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